Les avant-coureurs de l'espèce nouvelle



La Lumière de Grâce
La lumière de grace,l'être psichique et le Supramental - Gilbert
Le corps énergétique et le supramental - Mani
Le silence mental - Gilbert
alchimie cellulaire - Ioana Morange
modification du champs électromagntique des atomes - Gabriel
Le Karma - Lucide
Le souffle perceptible - Ilse Middendorf
Le sexe et l'omosexualit´ - Yukta
L'explosion du silence - Lilas

La souffrance et la joie - Le journal d'un mutant - Solaris

Carnets de Satprem
Devenir la lave
l'aimantation
Le miracle dans la matière
L'absolu dans la matière


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Le karma




Le karma (en tant que notion d’enchaînement et non d’action – ce qu’est en fait simplement le karma -) provient de l’inadéquation entre le temps de l’homme et le temps de Dieu.

Lorsque le temps de l’homme et le temps divin sont en adéquation, il reste l’action qui n’est pas séparée de la vision.

La notion d’enchaînement disparaît alors. La notion de libération aussi.

Se soucier du karma est le souci de l’individu séparée qui vit sa vie comme si le divin n’existait pas, puis constate des dysfonctionnements, et enfin en cherche la cause (en vain).

L’éveil au Divin est l’Eveil à la Personne.

L’Amour dissout le karma en révélant l’inexistence de l’acteur.

Du point de vue purement non duel, Dieu l’homme et le monde sont illusoires en ce sens qu’ils n’existent pas indépendamment les uns des autres. La problématique qui tourne autour d’eux est donc irréelle (bien qu’elle puisse se produire).

On ne trouve pas la paix en confrontant sa souffrance à celle d’un autre. On ne fait que recréer un cycle de souffrance.

Est-il sage celui qui s’approche d’autrui sans avoir résolu le problème de sa propre souffrance (résolu = éradication de la souffrance) ?

Seul l’homme ayant réalisé la nature du Soi peut être libéré ... « tu aimeras ton prochain comme toi-même » veut dire « tu aimes ton prochain comme étant toi-même » et non « comme s’il était toi-même » (ce qui est infaisable sans hypocrisie).

Tant que demeure le sens de la séparation il n’est pas d’amour et l’action est mensonge.

Tant que demeure le sens de la séparation, la seule chose qui existe est MA souffrance. Me pencher sur celle d’autrui est un leurre. Ce que j’appelle relation, échange, n’est qu’échange de souffrance. Utiliser l’autre comme révélateur de ma violence et de ma souffrance n’est pas CHARITE.

A moins que, porteur de l'ESPRIT je sois vecteur de GUERISON.

Lucide

 












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