Les avant-coureurs de l'espèce nouvelle



La Lumière de Grâce
La lumière de grace,l'être psichique et le Supramental - Gilbert
Le corps énergétique et le supramental - Mani
Le silence mental - Gilbert
alchimie cellulaire - Ioana Morange
modification du champs électromagntique des atomes - Gabriel
Le Karma - Lucide
Le souffle perceptible - Ilse Middendorf
Le sexe et l'omosexualit´ - Yukta
L'explosion du silence - Lilas

La souffrance et la joie - Le journal d'un mutant - Solaris

Carnets de Satprem
Devenir la lave
l'aimantation
Le miracle dans la matière
L'absolu dans la matière


Suite...



l'aimantation



Tout de suite l'aimantation a commencé, impérieuse, puissante, irresistible.
Mais cette fois toute la conscience matérielle, corporelle, montait à flots pour ainsi dire, sous une irresistible succion.
ça sortait, sortait, montait, montait interminablementet en abondance ( on se demande comment tant de substance peut être contenue dans un petit corps) Il n'y avait aucune crainte: le corps se sentait dans les mains du Divin.
Mais c'était long, peut- etre une heure.
Au bout d'une heure les aimantations sont devenues plus lentes, prolongées---ça devenait plus difficile. Finalement tout s'est immobilisé...tout était vide, mais un vide un peu écrasant...J'étais comme un bloc immobile, il n'y avait pas de volonté propre...Puis c'est rentré par vagues, massives, des vagues bleues accompagnées de doré. Au début de l'expérience je me suis rappelé les mots de Mère:" C'est comme si les cellules étaient jétées par force dans un monde inconnu et dangéreux- dangéreux mais merveilleux.

3 avril 1983


...Puis il ya a eu une puissante aimantation, quelque chose qui semblait tout sortir du corps individuel et j'ai eu la sensation d'émerger dans un espace bleu sous un soleil que l'on ne voyait pas... là le corps était comme un point sans différence vraiment avec la petite bille terrestre et il ya avait une curieuse sensationd'être parfois ce point, parfois cet espace; de baigner dans cet espace ( physiquement baigner et de contenir ou d'etre cet espace.
C'était très vaste, léger, béatifique, très immobile et transparent- on pouvait être là ou être ça pendant des siècles...
C'est comme si on passait d'une position à l'autre de la même chose et la position la plus naturelle était d'être un point ou d'être tout cet espace ( sans du tout la sensation du "moi-je" Là -dedans,le "je suis" n'a pas de sens...La terre aussi avait l'air d'être un point là dedans, sans grande différence avec le point du corps...tout cela avait l'air d'être la même chose.. Dans tout cela on ne peut pas dire que l'on voit ou l'on regarde-- Rien n'est ext´rieur, rien n'est"objet"

Satprem
Carnets 5 avril 1983


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Là où est le besoin l'outil se forme.
Le besoin profond de la vie n'est pas améliorer les outils de la vie, mais d'abolir la mort.




 












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